Éorl, son histoire, premier chapitre.

[HJ]
Voilà mes amis,la première partie de l'histoire de mon personnage. La seconde est déjà pête, juste quelques détails à mettre encore. Soyez indulgents, je me met tout juste à faire ce genre de récits. et faire des récits tout court d'ailleurs:P En tout cas, vos critiques sont les bienvenues, elles me seront construcitive. J'espère que cela va vous plaire *gloups*
[HJ]

Voici mon histoire, ma vie, mon parcourt. Vous en apprendrez
beaucoup sur ma vie, et celle de personnes qui me sont cher, et contrairement à beaucoup je ne parlerai pas des mes parentes… Très jeune ils nous ont livré à nous-même, devant se débrouiller par nos propres moyens sans compter sur l’aide de personne. Je dis « nous », car je parle de moi… et ma sœur, Lidyana. Peu d’entre vous l’ont connue, je crois même que la seule personne qui puisse s’en souvenir est Alfaric. Et je dois avouer que c’est pour elle que je vous fais part de Notre histoire.

Nés dans les forêts de Teldrassil du côté d’Aldrassil, j’ai appris à vivre en solitaire dont le seul contact était avec ma sœur. Nous étions inséparable, évoluant en pleine nature, la voix des druides fut très vite une évidence pour nous, dont la logique voulait que je sois le « guerrier » et Lidyana soit ma « protectrice ».

Bien sûr, les extrêmes s’attirent, et lorsque vous vivez relativement seul, sans contact réel avec la civilisation sauf pour acheter du pain ou du lait, votre esprit vous pousse à la découverte, à ce besoin d’établir des relations sociales. Ce besoin nous a donc rapproché petit à petit de la merveilleuse citée de Darnassus.

A notre grande déception, nous nous attendions à trouver une ville dynamique, vivante, en tout cas, c’était l’idée que nous nous faisions d’une telle citée. Au lieu de cela, nous découvrîmes un lieu où Chasseur, druides, prêtres et guerriers vivent en parfaite harmonie, finalement, un environnement et mode de vie très peut différent de ce à quoi nous étions habitués.

Néanmoins, nous ne passions pas inaperçus. Les gens se demandaient d’où venaient ces deux individus à la démarche trop discrète, trop timide, au regard impressionné, curieux, témoignant d’une grande solitude. Nous n’avions pas parcourut tous ces sentiers, toutes ces forêts, pour rebrousser
chemin. Nous comptions bien rester. Mais quelle ironie ! Nous qui étions en quête de la civilisation, la civilisation nous rejetait.
Enfin ! La vie continue ! Je continuais à gagner ma vie en rendant service villageois pour les débarrasser de créatures indésirables ou malfrats pillant leurs maisons, et ma sœur apportait soins et médicaments au plus démunis.

J’étais toujours inquiet lorsque ma sœur partait seule chaque matin, et chaque soir était un moment de soulagement de nous retrouver et partager nos aventures de la journée. Malgré tout, sans jamais nous l’avouer, nous avions besoin de voir autre chose, de faire d’autres rencontres, d’établir des liens affectifs avec des personnes qui pourront entendre ce que je ne peux dire à ma sœur.

Un jour comme les autres, du côté du Lac d’Aigue-vive, je chassais les Voleuse Plumesang afin de récupérer l’argent de Radnaal Maneweaver, je fis une rencontre qui bouleversa ma vie à jamais. Celle d’un jeune humain Adricus. Moi qui m’étais fait une idée de l’individu lambda comme mystérieux, réservé, discret, voilà que je tombe sur un homme qui m’aborde, qui se présente, et surtout… qui cherche à faire ma connaissance. J’étais tout
simplement cloué sur place. A la fois pris entre le sentiment d’émerveillement et de surprise, je n’avais qu’une envie, me foutre des baffes pour que ma bouche émette enfin un son. Cet homme me mit très vite à l’aise en me parlant de lui, d’où il venait, de sa famille, de son cousin… surtout de son cousin… un certain Alfaric ! Enfin, je fit la connaissance de quelqu’un de totalement différent, d’une culture toute aussi passionnante, d’un mode de vie diamétralement opposé, je ne pouvais laisser passer cette opportunité de lui parler de moi, de ma sœur, de nos envies. Il nous invita à venir du côté de la forêt d’Elwynn. Je me rappelle encore ne pas avoir oser demander où se trouvait cette forêt de peur de paraître ridicule. Peu importe ! Je m’en vais ! Et rien ne m’empêchera. A peine après avoir quitter Adricus, je couru retrouver mon adorable sœur, lui apporter la bonne nouvelle… elle s’effondra de joie !

Plus une minute à perdre ! Nous voulions partir au plus vite, car enfin le monde s’offre à nous, que nous allons parcourir d’aventures en aventures, rencontrer de nouvelles races, et bien des surprises nous attendent aussi bonnes que mauvaises… Je vois l’émerveillement dans les yeux de ma sœur, et mon cœur ressent un grand sentiment de liberté….

la suite! la suite!

Oh tu m'emerveille là! je reste sans voix

Bravo mon ami, vivement la suite

Le soir même nos sacs étaient prêts… enfin ! Façon de parler. C’est ça l’avantage de ne pas avoir d’attache, on peut partir sans regarder derrière soi. Juste le temps d’envoyer une lettre d’adieu à nos parents, plus pour la formalité qu’autre chose, et nous voilà partit pour Auberdine où une embarcation nous attend pour nous mener au port de Ménethil. Voilà encore un lieu totalement inconnu. Avec nous, un humain, ivre mort, défringué, et un nain, une main plongée dans son rôti de raptor, l’autre agrippant sa bière. C’était la première fois que j’en voyais un, je ne les pensais pas si petit, et bien tout ce que j’avais pu lire sur les nains je ne me sentais pas
dégoûté, n’allant pas dire que j’irai jusqu’à leur faire totalement confiance,
mais je n’y voyais aucune gène de leur parler. Plus nous avançons dans notre quête, plus je ressent le besoin de découvrir ce « nouveau » monde.

Nous voilà au port de Ménéthil, besoin d’une bonne nuit de repos, nous allons à l’auberge. Au matin, ma sœur demande à l’aubergiste de nous indiquer le chemin pour la forêt d’Elwynn. Elle esquissa un sourire en nous regardant de bas en haut et nous fit comprendre que nous n’y parviendrons
jamais sans une escorte. Elle nous proposa les services de son fils, pour une dizaine de pièces d’or, il nous mènera à Forgefer où nous pourrons prendre une sorte de « tram » qui nous conduira à la grande citée des Hommes. Toutes ces indications nous firent comprendre que nous ne connaissions rien du monde, de ces vastes étendues, de tous ces territoires hostiles.
Dix pièces d’or !! C’est presque toutes nos économies réunit, mais nous n’avions pas le choix !

Fin de l’après-midi, nous nous mettons en route compagnie de
ce mage, Arsaf !
Le voyage dura quatre jours, et sans encombres, juste quelques Grunt du côté de Dun Algaz qu’Arsaf renvoya rapidement rejoindre leurs alleux.

Forgefer !!! La grande citée des Nains ! Une véritable œuvre d’architecture plongée dans la roche de la montagne. Ca crie, ça vit, ça bouge ! On y rencontre toutes sorte de créature venant des quatre coins d’Azéroth. Arsaf nous emmène au « tram des profondeurs », il est temps de nous dire adieux. Lors de ce voyage j’ai rencontré un nouvel ami que je ne perdrai jamais !

Nouvelle étape, Hurlevent ! Nous touchons notre but ! Sans perdre de temps, nous courrons à l’office des habitants pour obtenir le moyen de contacter soit Adricus, soit son cousin Alfaric. Le fonctionnaire nous dit de nous rendre au village Comté-de-l’or, dernière adresse de l’un d’eux…


[hrp]
J’en ai terminé pour ce deuxième chapitre. Quoi ??? Déjà ? Vous allez me dire, « bon tu es bien gentil, mais c’est qui cette soeurette dont tu nous parle ? Seul Alfaric doit s’en souvenir ? Donc elle a bel et bien existée… alors qu’est-elle devenue ? Et toi ? Si sociale actuellement alors que tu te décris comme distant, discret mystérieux… comment as-tu changé ? »
[hrp]

Mon pote, c 'est tout simplement magnifique

Je dois reconnaître en toi mon ami un talent qui m'ébloui j'ai hâte de connaître la suite!!!

HRP
Oui j'ai mis du temps... manque d'inspiration. Et j'espère que celle dont je fais preuve dans ces nouvelles pages vous plaira. Bonne lecture à tous. (vous remarquerez qu'il n'y a toujours pas de titre de chapitre...)
HRP


Sans perdre de temps je me rend à Comté de l’or, pendant que ma sœur se ballade dans Hurlevent, histoire de se familiariser. Mais qui dois-je chercher? Adricus ou Alfaric ? Si c’est ce dernier, je n’ai qu’un nom. Bon sang je tourne en rond dans cette auberge ! Je vois dans un coin de la salle un homme me fixer du regard. Il est calme, serein, sirotant sa bière. Timide comme je suis, je m’approche, il m’interpelle en me disant que nous avons une connaissance en commun. Plus de doute c’est bien lui, Alfaric. Pendant le voyage de Teldrassil à ici, j’ai essayé d’en apprendre plus sur les humains, j’ai appris notamment leur classe particulière, la voix de la lumière. A en regarder son équipement, cet homme semble être un paladin, comme ils disent. Une énorme masse posée aux pieds de la table, une armure en plaque à écraser un Sylvain de Teldrassil, une attitude dégageant le calme, la paix, la sérénité.

Il me propose de rejoindre sa table, et m’offre très gentiment une cruche d’hydromel, moi qui n’ai jamais bu d’alcool, mais bon, je suis venu pour découvrir se monde, et tout se qui le compose, donc pourquoi pas ça… A présent j’avoue ne plus m’en passer.

Il engage la conversation en me parlant du courrier qu’il a reçut de son ami, quant à moi je lui parle de ma situation, de ma vie, de ma sœur. A présent il me propose un choix, celui de rejoindre sa guilde, sa famille comme il dit, dirigée par sa femme Linnoa. Il y a encore 5 jours nous étions seul et vivions de nos propres moyens, maintenant nous avons l’occasion de rentrer dans une communauté. Je crois que nous ne pouvons refuser, des individus que je ne connais pas, qui ne me connaisse pas, nous ouvrent leurs portes amicalement.

En ce jour, à la simple issue d’une conversation, je trouve une famille que je ne perdrais jamais. Je me sens fier car j’apporte à ma sœur un avenir tout différent de celui qui nous était tracé quelques jours auparavant.
Nous voilà membres de « La Mafia ».

Super, c’est bien joli tout ça, mais maintenant il faut nous trouver notre place en ce nouveau monde, sur tout savoir maintenant comment nous comporter, quelle attitude adopter.
Nous, elfs de la nuit, sommes habitués à vivre à l’écart du reste du monde, camouflé dans nos forêts nous restons toujours en retrait, ne nous mêlons peu des affaires des autres, et évitons les conflits… serait-ce de l’égoïsme ?
Alors que voici une civilisation totalement différente, elle est ouverte, se bat pour la justice, protectrice de son peuple et des peuples des autres royaumes, prend son courage pour entrer en conflit.

Voilà que nous sommes entre deux cultures, d’un côté nous ne pouvons aller contre notre culture, nos coutumes, nos habitudes, notre éducation, mais d’un autre côté, une forte attraction nous pousse à venir au besoin d’autrui, être présent pour notre prochain, à nous battre pour un monde libre et unit.

Je crois que la réponse viendra en son temps… A présent notre vie s’organisait entre cette terre d’accueil, et notre terre natale, où nous ne devons perdre nos valeurs propres.

Ma sœur et moi avons trouvé refuge dans une petite ferme de la Marche de l’ouest, en échange, nous offrons nos talents de druide, finalement le quotidien journalier ne change pas de notre vie d’avant. Mais maintenant mon côté réservé et discret s’estompe, et j’aborde plus facilement les gens, notamment en allant régulièrement à Comté de l’or…

Voilà deux mois que nous nous sommes établit, un fermier a bien voulut nous loger en échange de certains services, la vie reprenait alors son court…
La séparation de notre terre natale se fait ressentir de jour en jour, et il ne tarda pas le moment de choisir d’y retourner quelques temps, comment pourrions-nous appeler cela ? Des vacances ? Un retour aux sources ? J’opte pour le deuxième.

En parlant de sources… comment notre peuple allait-il nous accueillir ? Bien que nous n’étions pas bien connu, le doute m’envahit. Serions-nous devenu à leurs yeux des étrangers ? Ou des déserteurs pour certains, des personnalités reconnues pour leur courage d’avoir oser dépasser nos frontières ? La dernière possibilité me semble moins probable, j’avais pu rencontré depuis notre arrivée à Hurlevent des Elfs de la nuit, tous bien portant, se battant pour l’Alliance. Au court des courtes paroles que j’avais
pu échangées avec eux, aucun ne me parlait de leur retour au pays après être partit. Cela me réconfortait dans notre choix, qui semblait être le bon, mais en même temps cela amplifiait la question de ce que nous sommes devenus aux yeux des autres…

La question n’allait pas se poser bien longtemps, demain un bateau nous attend au port de Ménethil pour naviguer jusqu’à Auberdine. Espérons que tout se passera bien, cinq jours de voyage, dans un bâtiment sans confort, pour un peu que la compagnie soit déplaisante, et je vais être de bonne humeur pour retrouver les « miens ».

Hrp
Aller Hop! j'enchaine, je vous laisse pas respirer.
Hrp

La question n’allait pas se poser bien longtemps, demain un bateau nous attend au port de Ménethil pour naviguer jusqu’à Auberdine. Espérons que tout se passera bien, cinq jours de voyage, dans un bâtiment sans confort, pour un peu que la compagnie soit déplaisante, et je vais être de bonne humeur pour retrouver les « miens ».

Le grand clame, pas un bruit, pas un passant, seuls quelques gardiens de la lune, et sentinelles de Darnassus errent sur les ponts. C’est plus qu’un silence de cathédral, mais non pas effrayant. Il faut reconnaître que c’est endroit est paisible, réconfortant, tel un paradis.

Je m’y attendais un peu, pas le moindre de signe de reconnaissance, bien que certains nous regardaient d’un œil en coin du notre nouvel accoutrement et bagages que nous avions.

Il nous fallait une monture et nous allions donc en chercher une près de l’enclave cénarienne. Je reconnais que travailler au territoire humain rapporte de l’argent, sans être pour autant attirer, l’argent permet tout de même de s’offrir un certain confort qui reste cher même à Darnassus.

Cent pièces d’or, cela reste cher ! Alors que je payais le marchand, je sentais un regard imposant derrière moi, troublant. Je ramasse mon sac, et en me relevant je regarde au sommet de la tour. Pas de doute, c’est bien l’Archidruide Fandral Fortarmure qui nous guète. Le court échange de regard me fit frissoner. Je n’arrivais pas à dire ce que cela signifiait. Soupçons ? Méfiance ? Intrigue ? Aucune idée.
Lidyana passa sa main autour de mon bras : « Tout va bien ? »
- « Oui oui. Allons. » Dis-je d’un ton bref.

En scelle, les sacs bien accrochés, ma sœur derrière moi,nous sortions de la citée. A peine sorti de la ville, une sentinelle sur une imposante
monture nous interpella :
- « Jeune Druide, L’archidruide veut vous parler, il vous attend »
Nuls autres choix, je dis à Lidyana de retourner à notre demeure avec la monture et nos sacs et que je la rejoindrais plus tard.
Me tournant vers la sentinelle : « Je vous suis, ne faisons pas attendre l’Archidruide. »

Alors que nous montons la tour, l’inquiétude m’envahit. Pour quelles raisons le grand Archidruide voulait-il me voir ? Serais-je finalement jugé comme déserteur de Darnassus ? Non pas possible, il aurait fait venir ma sœur aussi, et plus de sentinelles seraient venues.

La sentinelle me dit de rester dehors pour le moment.
« Le jeune druide est là mon Seigneur » dit-elle d’une voix presque militaire.
« Bien faites-le entrer » ordonne l’archidruide.

J’entre dans une grande pièce relativement humble, ou la nature est omniprésente, c’est lieu dans lequel je me sent à mon aise finalement, je m’attendais à moins que cela. Sans me faire attendre, je m’avance devant mon supérieur et m’incline devant lui.
« Tu as fait vite jeune druide, je ne m’attendais pas à cela »
Ne m’attendant pas à une parole qui me semblait amicale, je répondit : « Je ne voulais vous faire… »
… attendre. Couper d’un signe de la main, je ne pu terminer ma phrase, serait-il hautain ou tout simplement impoli ?
« Vous ne passez pas inaperçu toi et ta sœur. Votre tenu vestimentaire en dit long, vous avez voyagez hors de nos frontières… Pour quelles raisons ? » à l’entendre parler j’avais l’impression d’avoir commit un crime.
« Est-ce un mal mon Seigneur que de vouloir partir à la découverte de ce vaste monde ? » Ne voulant pas lui montrer qu’il m’intimidait, je me dis que lui répondre par une question montrera que je ne me défile pas.
« Un mal, non jeune druide, vous êtes libre de vos actes. Mais il faut réfléchir aux conséquences qu’ils peuvent avoir. Un choix entraîne un autre choix, qui peut-être plus difficile à prendre » répondit-il d’un ton plus calme,
apparemment la manière dont j’avais répondu avait fait son effet.
« Tout dépend des choix qui nous sont imposer mon seigneur. Les choix dépendent des points de vue des individus et de leurs perspectives, et cela reste limité par nos connaissances. Les conséquences de notre départ ont été prises en compte, nous ne savions comment nous allions être reçut par les habitants de ces terres éloignées, ni ne savions comment notre peuple allait nous estimer. La pire des conséquences serait d’obtenir un statut de déserteur… » en terminant ma phrase je le regardais droit dans les yeux pour lui faire bien comprendre que jamais nous ne voulions déserteur notre pays, la preuve même apparaissait dans le choix de notre retour.

« Vous n’êtes pas pris pour des déserteurs, je vous rassure. Néanmoins, je ne souhaite pas que des citoyens quittent à jamais communauté. D’autres avant vous l’ont fait, et certains n’ont jamais été revut. Je vous laisse libre de vivre où bon vous semble et de mener la vie qui vous conviendra, mais il va falloir trouver un moyen de garantir votre dévotion à notre peuple. Vous, et votre sœur ! » Cette phrase était plus un ordre qu’un souhait. Et là, il me plaçait devant un choix que je ne connais pas encore.

« Nous parlions de conséquences entraînant des choix, et apparemment seuls vous connaissez ces alternatives… devant quoi me placez-vous ? »
« Vous avez tout deux choisit la voix druidique, vous comme Maitre de la Griffe, votre sœur comme Maîtresse des Soins. Un duo pareil m’intéresse beaucoup, et serait très utile dans nos rangs contre le conflit face aux Orcs à Orneval. »

Libre de nos actes, mener notre vie comme bon nous semble, foutaise !!! De plus ce n’est pas un choix, mais limite un ordre…
« Ce que vous venez de me dire manque d’un élément, quel est le second choix possible ? »
« Refusez le premier, et le second choix sera d’être considéré comme déserteur, vous et votre sœur, ne pouvant jamais revenir en nos terres, ni n’ayant aucune aide de la part de Darnassus hors du royaume. » Son regard était dur, imposant et menaçant. J’avais l’impression d’avoir une lame sous la gorge.
Refusant de lui montrer mon angoisse, je lui annonce ces paroles de manière à ce qu’il comprenne que le choix reste entre nos mains, et qu’il n’a pas pris un ascendant psychologique.
« Ce que vous me demandez requiert une longue réflexion, que je ne peux prendre seul ni maintenant. Il me faut du temps, ainsi qu’à ma sœur »
« Je comprend parfaitement, je vous laisse une dix jours, et vous reviendrez avec votre sœur me faire part de votre choix. »
Je ne m’attendais pas à une telle « clémence ».

Je m’incline devant lui, fait demi-tour, et au moment de passer la porte je l’entend dire : « Saluez vos parents de ma part »
Mes parents, pourquoi me parlait-il d’eux. Ils n’avaient pourtant rien à voir avec lui. Jamais je n’ai entendu dire qu’ils avaient rencontré ou connu particulièrement l’Archidruide…

Mes jambes tremblaient, j’avais besoin de me retrouver au plus vite aux côtés de Lidyana. La sentinelle qui m’avait accompagnée, me tendit les sangles de sa monture « vous me la rendrez à votre prochain passage à la citée » Enfin un signe amical de quelqu’un de mon peuple.

En partant, elle me dit « On ne peut vivre sereinement que si nous faisons nos choix par notre propre réflexion, non orientée par autre chose, ou quelqu’un d’autre… »

Qu'est devenue Lydiana?

Et les parents???

Pourquoi a-t-il dit « Saluez vos parents de ma part »...????

Bon alors Eorl?Tu te dépeche pour la suite?

aaaah vivement se soir pour qu'on ai plus de nouvelles d'elle?

Pardon mes amis je m'étais trompée , en fait ce n'était pas elle...et je le regrette

"On ne peux vivre sereinement que si nous fesons nos choix par notre propre reflexion, non orientés par autre chose, ou quelqu'un d'autre"...

Certes! Pouvez vous developper trés cher cette reflexion? Ou nous donner la suite car nous sommes sur notre faim là...

Par Elune, l'inspiration me manque. J'ai mes idées, mais pas encore bien définies...

Il faudra être patient

Pas de soucis trés cher nous allons apprendre à etre patients... de fait !

Je comfirme, on est impatient et malheureusement se n'est pas une de mes qualités...